EthiCum est « Pour »
Combien de fois quelqu’un ne m’a-t-il pas suggéré, au nom de l’éthique d’entreprise à laquelle EthiCum est dédiée, de stigmatiser telle ou telle société pour ses agissements ou ses pratiques « douteuses » ou non-conformes à une certaine morale ou moralisation de la Société.
Je m’y suis toujours refusé car, contrairement à certaines autres associations ou organisations qui le font, et parfois à juste titre et fort efficacement, le principe de base d’EthiCum a toujours été de proposer (sans imposer) des « bonnes pratiques » Ethique ou R.S.E. en faisant en sorte que ceux et celles qui les ont mis en oeuvre dans l’intérêt de toutes leurs parties prenantes équitablement et pour la prospérité et la pérennité de leurs entreprises puissent être reconnus, voire « copiés ».
EthiCum n’est pas « contre » les entreprises qui feraient ce qui est « mauvais » mais « pour » les entreprises qui font ce qui est « bon » pour elles et pour leurs parties prenantes, à commencer par leurs clients et employés.
C’est une « philosophie » pragmatique.
Philippe Caner
Président-FondateurEthiCum est « Pour »
Combien de fois quelqu’un ne m’a-t-il pas suggéré, au nom de l’éthique d’entreprise à laquelle EthiCum est dédiée, de stigmatiser telle ou telle société pour ses agissements ou ses pratiques « douteuses » ou non-conformes à une certaine morale ou moralisation de la Société.
Je m’y suis toujours refusé car, contrairement à certaines autres associations ou organisations qui le font, et parfois à juste titre et fort efficacement, le principe de base d’EthiCum a toujours été de proposer (sans imposer) des « bonnes pratiques » Ethique ou R.S.E. en faisant en sorte que ceux et celles qui les ont mis en oeuvre dans l’intérêt de toutes leurs parties prenantes équitablement et pour la prospérité et la pérennité de leurs entreprises puissent être reconnus, voire « copiés ».
EthiCum n’est pas « contre » les entreprises qui feraient ce qui est « mauvais » mais « pour » les entreprises qui font ce qui est « bon » pour elles et pour leurs parties prenantes, à commencer par leurs clients et employés.
C’est une « philosophie » pragmatique.
Philippe Caner
Président-Fondateurest « Pour »
Combien de fois quelqu’un ne m’a-t-il pas suggéré, au nom de l’éthique d’entreprise à laquelle EthiCum est dédiée, de stigmatiser telle ou telle société pour ses agissements ou ses pratiques « douteuses » ou non-conformes à une certaine morale ou moralisation de la Société.
Je m’y suis toujours refusé car, contrairement à certaines autres associations ou organisations qui le font, et parfois à juste titre et fort efficacement, le principe de base d’EthiCum a toujours été de proposer (sans imposer) des « bonnes pratiques » Ethique ou R.S.E. en faisant en sorte que ceux et celles qui les ont mis en oeuvre dans l’intérêt de toutes leurs parties prenantes équitablement et pour la prospérité et la pérennité de leurs entreprises puissent être reconnus, voire « copiés ».
EthiCum n’est pas « contre » les entreprises qui feraient ce qui est « mauvais » mais « pour » les entreprises qui font ce qui est « bon » pour elles et pour leurs parties prenantes, à commencer par leurs clients et employés.
C’est une « philosophie » pragmatique.
Philippe Caner
Président-FondateurEthiCum est « Pour »
Combien de fois quelqu’un ne m’a-t-il pas suggéré, au nom de l’éthique d’entreprise à laquelle EthiCum est dédiée, de stigmatiser telle ou telle société pour ses agissements ou ses pratiques « douteuses » ou non-conformes à une certaine morale ou moralisation de la Société.
Je m’y suis toujours refusé car, contrairement à certaines autres associations ou organisations qui le font, et parfois à juste titre et fort efficacement, le principe de base d’EthiCum a toujours été de proposer (sans imposer) des « bonnes pratiques » Ethique ou R.S.E. en faisant en sorte que ceux et celles qui les ont mis en oeuvre dans l’intérêt de toutes leurs parties prenantes équitablement et pour la prospérité et la pérennité de leurs entreprises puissent être reconnus, voire « copiés ».
EthiCum n’est pas « contre » les entreprises qui feraient ce qui est « mauvais » mais « pour » les entreprises qui font ce qui est « bon » pour elles et pour leurs parties prenantes, à commencer par leurs clients et employés.
C’est une « philosophie » pragmatique.
Philippe Caner
Président-Fondateur